samedi 16 avril 2011

Images

Pour moi, s'évader c'est partir explorer des paysages à en couper le souffle.




vendredi 15 avril 2011

Dessine moi une mode

Le Dessin... Un art , une mentalité, un talent, un monde et aussi une "mode" qui a su perdurer depuis des millénaires.  Pour moi, c'est un moyen d'évasion, une sorte de défoulement , un moyen d'expression.  Comme je pourrais vous le démontrer, si vous vous intéressez à voir mes dessins, que je sois une personne triste, joyeuse ou quelque soit la situation dans laquelle je me retrouve, cela va être représenté dans mes dessins.  
La mode est aussi quelque chose de très important dans ma vie.  Je suis une passionnée de la mode, et ce, depuis mon plus jeune âge.  Alors, d’une certaine manière, j’intègre la mode dans mes dessins. Je dessine des vêtements sur des mannequins. Personnellement, je trouve que ceci est un moyen d’évasion, puisque dans mon passe temps je pourrais rester assise pendant des heures afin de dessiner et ainsi oublier tout le stress de la fin de session. 
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De plus, malgré l’importance de cette passion, je n'ai jamais suivi de cours. J’ai appris seule en m’inspirant de différents modèles.  En effet, je recopiais des dessins en ajoutant mes propres retouches

La composition.

La composition de contes est pour moi un moyen de m’évader auquel je m’exerce quotidiennement. Voici l’un d’entre eux.

La belle rencontre.

Le soleil commençait à ce coucher et, dans les cours qui bordaient la ruelle, un groupe d’enfants jouaient en criant et en riant. Ils se lançaient des boules de neiges en courant autour de leur fort qui avait plutôt l’air d’un gigantesque tas de neige.  Cela me rappelait de bons vieux souvenirs passés dans ce cartier. Je me suis souvenue d’un magasin de bonbon, tout au bout de la ruelle, dont j’allais chaque vendredi après-midi en revenant de l’école. Avec seulement deux dollars je pouvais me procurer un beau petit trésor. Des sucreries de toute les couleurs aux saveurs uniques. Le propriétaire du magasin était un vieil homme sympathique et chaleureux qui me faisait penser à mon grand-père. Il connaissait tout les enfants du cartier par leur prénom. Chaque fois que je rentrais dans sa boutique je sentais l’odeur agréable du bois et du sapin ce qui me procurais un sentiment de réconfort.  Je pensais encore aux doux souvenirs de cet endroit lorsque j’ai tourné le coin, quelque mètres plus loin, je me suis retrouvée face à face avec mon beau programmeur à qui j’avais pensée des semaines auparavant et qui ne m’avait jamais rappelé, après notre soirée à discuter devant un verre de vin. Il était maintenant devant moi à sourire fièrement. Malgré ma frustration intérieure je ne pouvais m’empêcher de le regarder et pour une raison inexplicable il me faisait un effet que j’avais rarement ressenti. Il était beau, même sous la neige avec sa tuque étrange et ses joues rouges. Je me suis dit qu’il était temps de faire bonne impression et de dire quelque chose d’intelligeant avant qu’il fasse demi-tour. Nous avons longuement discutés de tous et de rien, immobile au coin de l’ancienne bonbonnière. Le vent frais de l’hiver glissait sur mon visage et commençais à me geler le bout des doigts. Mais cela mettais égal, je ne voulais pas mettre fin à notre discussion qui m’enchantais au plus haut point.
Je pensais déjà à la façon dont j’allais raconter ma belle rencontre à mes colloques qui avaient du m’endurer les semaines précédentes avec mes multiples questionnements et qui essaient de trouver une excuse valable au fait qu’il ne m’avait jamais rappelé. Je me suis mise comme toujours à me faire des tonnes de scénarios et rêvasser. Il pouvait certainement le voir dans mes yeux qui rayonnaient malgré la noirceur qui était de plus en plus dominante. Il c’est finalement penché vers moi et m’a chuchoter à l’oreille. Amuser et songeuse  nous avons chacun continuer notre chemin.